Aujourd'hui, je vous propose de la littérature américaine avec l'autrice Dorothy Parker. C'est une autrice qui a écrit de nombreux romans. Pour cette chronique, je vais partager avec vous mon avis concernant "La vie à deux".
Pour être honnête et ne pas maintenir le suspens jusqu'à la fin de cet avis, j'ai un avis assez mitigé.
Les petits ratés de la vie de couple prennent souvent l'allure d'une comédie désopilante. Qu'il s'agisse de cette amoureuse, tremblante à côté d'un téléphone qui ne sonnera pas ou de cette ex-reine de beauté qui cherche à prolonger ses illusions par un whisky sans glace, chacun des personnages de ce recueil de nouvelles devient attachant parce qu'il nous ressemble.
Editions 10/18 - 252 pages
Ce fut une lecture plutôt "originale", notamment à cause de la plume de Dorothy Parker. Il s'agit d'un recueil de nouvelles et c'est très agréable comme format pour passer un moment de lecture sympathique mais aussi peu long.
Même si j'ai eu un avis assez mitigé lorsque j'ai refermé ce livre, j'ai trouvé qu'il y avait de bons points. Les histoires sont assez réalistes ce qui est assez moderne pour cette autrice. Les romans ne sont pas trop "fantasmé" et parleront à beaucoup. En plus de cela, les personnages sont décrits avec aussi un certains réalismes. Les femmes sont assez fragiles, pour diverses raisons et les hommes eux, sont décrits par Dorothy Parker comme des êtres faibles qui succombent aux charmes de maîtresses notamment. Ce sont aussi des histoires de mariages, parfois assez tristes, mais je trouve, qu'ils reflètent une certaine époque.
En plus de cela, le décor américain, plus précisément New-York, est très agréable et permet de se fondre complètement dans le décor. Cela apporte une nuance de réalisme supplémentaire que j'ai beaucoup aimé.
Malgré toutes ces qualités, j'ai eu du mal à accrocher complètement à la plume de Dorothy Parker. Même si sa narration reste rythmée, c'est purement personnel. C'est pour cela que je tenais à vous présenter ce roman car la lecture reste une expérience personnelle et parfois, un avis mitigé ne vient pas directement de l'œuvre.